Jean-Baptiste Moquet, avocat au Barreau de Paris, nous livre un texte très éclairant sur ce qu'il appelle le "couperet de la prescription" qu'il compare à un véritable déni de justice.
Me Moquet sait de quoi il parle, lui qui a été, entre autres, aux prises avec le dossier Di Falco.
Une affaire qui s'est "éteinte" pour cause de faits prescrits et non pour avoir débouché sur une récusation des accusations...